Les origine
Les inscriptions de tatouage sur la peau et les inscriptions incisées en argile fournissent la preuve que les humains ont depuis longtemps pratiqué le bodyart. Les comptes écrits de
premiers explorateurs européens certifient également de la nature raffinée et répandue de tattoo dans diverses régions du monde, fournissant une preuve irréfutable que l'art corporel est encré dans
les traditions depuis des millénaires.
Les femmes de Pazyryk
Ces femmes ont été trouvées dans les hautes montagnes de l'Altaï, en Sibérie, et elles ont vécu il y a environ 2400 ans. Leurs tattoos représentent des animaux et d'autres créatures. On
peut supposer que les griffons et les monstres ont une signification magique, mais les autres éléments semblent être purement décoratifs.
Jeudi 21 février
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Par www.tattoo-passion.com
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Porter un tatouage n’est jamais anodin.
Il engage pour la vie.
Le tatouage est une marque indélébile de son passé, un stigmate que l’on doit assumer jusqu’à la fin.
Il interdit la tricherie et les faux-semblants.
C’est aussi la forme la plus extrême du défi.
Le tatouage engage celui qui le porte.
Objet complexe, malgré son apparente simplicité, il est à la fois un argot graphique, une autobiographie corporelle, un stigmate volontaire.
Des peaux qui, au fil d’une vie, se couvrent de motifs apparemment convenus, mais qui ont en fait une signification symbolique, se répondent et s’enrichissent les uns les autres et racontent des
histoires, grivoises ou tragiques, drôles ou pathétiques.
Le tatouage est un langage, un livre d’images pour adultes endurcis.
C’est un langage argotique accessible uniquement à ceux qui en connaissent les codes.
Si le tatouage exprime une peine morale à travers une marque corporelle, il peut aussi en anticiper et en braver d'autre.
Une nouvelle sorte de tatouage est apparue à la fin des années 80.
Il est aujourd’hui de bon ton, pour n’importe qui, d’arborer un petit «tattoo» discret.
Longtemps exclusivement défi et stigmate, le tatouage est devenu aussi un accessoire de mode, un bibelot ne prêtant pas à conséquence.
Ces nouveaux motifs, dont l’emblématique dauphin sur l’omoplate, n’ont plus aucune symbolique.
De la souffrance ne reste que le moment bref de l’encrage, du reste moins douloureux avec les machines électriques.
Dessins lisses, pour des vies lisses, n’exhibant rien de la vie de son porteur, ils n’ont rien en commun avec les authentiques tatouages.
Mercredi 29 août
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Par Barricata www.contre.propagande.org
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